RAPPORT 2024 – FR

 

Nous sommes heureux de vous adresser notre rapport 2024 concernant les Sociétés internationales ayant des activités dans les territoires occupés du Sahara Occidental.
Ce rapport est divisé en 4 parties :
1ère partie : Statut Juridique.
2ème : Le RSE et les sociétés internationales .
3ème : Les perspectives, aussi bien à l’international que sur le terrain où opérent ces sociétés.
4ème : Détails graphiques des analyses et charts sur l’origine nationales des sociétés impliquées dans ces activités illégales.

Le rapport 2024 analyse la situation juridique des entreprises étrangères opérant dans les territoires occupés du Sahara Occidental, ainsi que les réponses possibles à cette problématique. Malgré son statut de territoire non autonome en attente de décolonisation, plusieurs sociétés persistent dans leurs activités dans cette région, violant ainsi les principes de la Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE) et les normes internationales. Bien que le Maroc ait entravé l’exercice du droit à l’autodétermination du Peuple Sahraoui, les décisions de diverses cours de justice internationales ont confirmé l’illégalité de l’exploitation des ressources du Sahara Occidental sans son consentement, ou celui de son représentant, le Front Polisario. Cela devrait servir de référence pour la RSE de toute entreprise. Malgré cela, le Maroc, parfois par le biais de la corruption, attire toujours des entreprises étrangères pour des activités dans la partie occupée du Sahara Occidental, en toute illégalité. Notamment, dans le secteur des énergies renouvelables, en utilisant le « greenwashing » et en exploitant les fonds financiers climatiques internationaux. La société civile peut jouer un rôle crucial en sensibilisant et en dénonçant ces pratiques illégales, suivant des stratégies similaires à celles utilisées lors du boycott contre l’ancien régime d’apartheid d’Afrique du Sud ou dans le mouvement BDS contre l’occupation israélienne. Il est également crucial que la République Arabe Sahraouie Démocratique (RASD), membre de l’Union Africaine, agisse sur le terrain, notamment en empêchant les opérations minières illégales, afin de prévenir le renforcement de l’occupation et de perturber le processus de décolonisation. Cette action est d’autant plus nécessaire lorsque l’on considère les conflits dévastateurs engendrés par les explorations minières dans certains pays d’Afrique.

 

Vous pouvez télécharger le rapport en cliquant sur le lien suivant:

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